The Full WWII experience
If you're not familiar with my reviews, click here for some notes and definitions...
Room name:
The Comms Room
Location:
Escape in the Towers, Canterbury (https://www.onepoundlane.co.uk/escape)
# of Players:
2-5 (Played with 3)
Duration:
60 min
Multi-Room:
Constraints:
Language:
Yes
English
Hints:
Special (Delivered as images on a TV screen)
Tally:
Official Description:
7 Locks, 13 Deductions, 10 Tasks
You’re thrown in at the deep end to replace the recently deceased former Air Raid Warden Mr Parsons. Your job is to defend Canterbury from a barrage of air attacks during 1942 by deploying air defenses and performing your duties, all the while unraveling the mystery of an unknown traitor sabotaging your every step.
Played in:
Summer 2019
Made it?
YES - With a little under 3 minutes left - 4 hints received
Verdict:
"Oh dear oh dear!", as Gordon Ramsay would say. You've read that correctly: the next series of escape room reviews will be about Great Britain, as my family and I spent almost 20 days visiting England and Scotland. Now obviously, sightseeing was our first goal, but that didn't prevent us from booking some of the nicest rooms that would cross our path, thanks to the reviews found on Escape the Review and The Logic Escapes Me.
Ready, old chap? Jolly good! (Yeah, ok, I'm done with that. Sorry.)
The first room I tried was 5 people max, but it had been highly recommended, so I decided I'd play it with my 2 eldest. Even before reaching the West Gate, the place's heavy history could be guessed. We were even more thrilled when our host took us from the tower hosting a pub into the next one, explaining that the tower was a real Comms Room during WWII, and that it had only recently been reopened to the public.
I couldn't help but draw comparisons between this room and our own "Escape the Diefenbunker" back home. Both rooms are leveraging a historical landmark by letting you play directly inside it. However, I have to say Canterbury gets the upper hand. For one thing, the game plot is a direct tie-in, putting us in charge of the station during WWII. And then because of that, every task we encounter is a puzzle-ified version of something that real Air Wardens had to do. Upon successful completion of a task, a short movie reel from the era shows what you just accomplished. Very nice.
As the story advances, the tasks become increasingly stressful, and by the time we finished, we strongly suspected we had run short on time. Turned out we hadn't. Huzzah!
Lessons Learned (or re-learned):Ready, old chap? Jolly good! (Yeah, ok, I'm done with that. Sorry.)
The first room I tried was 5 people max, but it had been highly recommended, so I decided I'd play it with my 2 eldest. Even before reaching the West Gate, the place's heavy history could be guessed. We were even more thrilled when our host took us from the tower hosting a pub into the next one, explaining that the tower was a real Comms Room during WWII, and that it had only recently been reopened to the public.
You can almost see history oozing from those walls... |
As the story advances, the tasks become increasingly stressful, and by the time we finished, we strongly suspected we had run short on time. Turned out we hadn't. Huzzah!
Photo de la salle réelle, tirée du site web Actual room picture from their website |
Si vous n'êtes pas un habitué de ce blog, cliquez ici pour quelques explications et définitions...
Nom de la salle:
The Comms Room
Emplacement:
Escape in the Towers, Canterbury (https://www.onepoundlane.co.uk/escape)
# de joueurs:
2-5 (jouée avec 3)
Durée:
60 min
Salles Multiples:
Contraintes:
Langue:
Oui
Anglais
Indices:
Spécial (Donnés par des images sur un écran)
Décomptes:
Description officielle:
7 verrous, 13 déductions, 10 tâches
(Voir version anglaise)
Jouée durant:
Été 2019
Réussie?
OUI - Un peu moins de 3 minutes restantes - 4 indices reçus
Verdict:
"Oh dear oh dear!", comme le dirait Gordon Ramsay. Vous avez bien lu: la prochaine série de critiques de jeux d'évasion concernera la Grande-Bretagne, puisque ma famille et moi-même avons eu le privilège de passer presque 20 jours à visiter l'Angleterre et l'Écosse. Évidemment, notre objectif premier était le tourisme plus traditionnel, mais ça ne nous a pas empêché de réserver quelques-unes des meilleures salles sur notre itinéraire, grâce aux critiques et observations trouvées sur
Escape the Review et The Logic Escapes Me.
"Ready, old chap? Jolly good!" (D'accord, j'arrête.)
La première salle que j'ai essayée était pour 5 personnes maximum, mais m'avait été chaudement recommandée, alors j'ai décidé d'y jouer avec mes deux plus vieux. Avant même de m'être rendu jusqu'au Westgate, je pouvais imaginer l'impact historique des lieux. Nous étions encore plus excités lorsque notre hôte nous a mené de la tour abritant un pub à la tour voisine, en nous expliquant que cette seconde tour abritait réellement une station de communication durant la 2e Guerre, et qu'elle n'avait été ouverte au public que très récemment.
Je ne peux pas m'empêcher de faire des parallèles entre cette salle et la "Escape the Diefenbunker" de chez moi. Dans les deux cas, nous sommes invités à jouer directement à l'intérieur d'un lieu historique. Je dirais toutefois que c'est Canterbury qui l'emporte. D'abord, parce que l'intrigue du jeu est en lien direct avec l'endroit, alors qu'elle nous met en charge de la station durant la guerre. Ensuite, parce que chaque tâche rencontrée est une version casse-tête-ifiée d'une chose que les "gardiens de raid" devaient faire. Lorsqu'une étape est remplie avec succès, un petit film d'époque nous montre l'équivalent de ce que nous venons d'accomplir. Très bien pensé.
Au fil de l'histoire, les tâches deviennent de plus en plus stressantes, et après avoir tout terminé, nous pensions avoir dépassé le temps imparti. Ce n'était pas le cas. Hourra!
Leçons à retenir (ou à réviser):"Ready, old chap? Jolly good!" (D'accord, j'arrête.)
La première salle que j'ai essayée était pour 5 personnes maximum, mais m'avait été chaudement recommandée, alors j'ai décidé d'y jouer avec mes deux plus vieux. Avant même de m'être rendu jusqu'au Westgate, je pouvais imaginer l'impact historique des lieux. Nous étions encore plus excités lorsque notre hôte nous a mené de la tour abritant un pub à la tour voisine, en nous expliquant que cette seconde tour abritait réellement une station de communication durant la 2e Guerre, et qu'elle n'avait été ouverte au public que très récemment.
Je ne peux pas m'empêcher de faire des parallèles entre cette salle et la "Escape the Diefenbunker" de chez moi. Dans les deux cas, nous sommes invités à jouer directement à l'intérieur d'un lieu historique. Je dirais toutefois que c'est Canterbury qui l'emporte. D'abord, parce que l'intrigue du jeu est en lien direct avec l'endroit, alors qu'elle nous met en charge de la station durant la guerre. Ensuite, parce que chaque tâche rencontrée est une version casse-tête-ifiée d'une chose que les "gardiens de raid" devaient faire. Lorsqu'une étape est remplie avec succès, un petit film d'époque nous montre l'équivalent de ce que nous venons d'accomplir. Très bien pensé.
Au fil de l'histoire, les tâches deviennent de plus en plus stressantes, et après avoir tout terminé, nous pensions avoir dépassé le temps imparti. Ce n'était pas le cas. Hourra!